Je n'ai pas besoin de confirmer. Mr memo est déjà passé par là.
C'est bien le jeu de Mickey autre que sur un piano, comme on pouvait parfois l'entendre dans le quartet avec JP Fouquey en 82/83 où tous deux alternaient synthé et piano selon les morceaux abordés. Une intelligente complémentarité. Fouquey disait que Mickey lui avait tout appris durant la période du Riverbop.
Tous avaient une admiration sans borne pour lui.
Personnellement dès la première écoute en 80 sur l'intro très brève de Sowiloi des "Inédits" j'ai pris une grande claque émotive, tout comme sur le chorus magnifique d'Asseline sur Om Zanka.
Hier soir grande émotion, je pense particulièrement à la magnifique interprétation de Bill's Heart (Stella a su retenir son émotion, bravo !) et surtout à Auroville suivi de Dear Mac qui m'ont replongé 30 ans en arrière (yeux mouillés par des sensations remontant à la surface, le temps qui passe......).
Un certain questionnement sur la prestation d'un bassiste que je vénère, mais hier soir totalement hors sujet et frôlant à mon gout l'irrespect. Un mystère.
Il me fait penser à Dali, autre génie qui pouvait faire une grosse daube sous prétexte d'en être un. Heureusement tout le monde n'est pas dupe.
Bien que j'apprécie JP Viret son toucher et sa musicalité, je ne pense pas à lui en disant cela mais l'absence d'Alby Cullaz est terrible. Je n'en dirais pas davantage, certains me comprendront
Merci à Michel pour sa belle musique, ses magnifiques interprétations, et certainement son grand coeur, et aux musiciens qui hier soir lui ont rendu ce bel hommage.
Je me répète, mais Mickey, tu nous manques tellement.